Genève – Aoste – Breuil-Cervinia – Petit Cervin – Zermatt – Genève
Breuil – Cervinia
Depuis le 1er juillet de l’an dernier, il est possible de découvrir par les airs, de Breuil-Cervinia à Zermatt, un des plus beaux massifs des Alpes, allant du Mt Rose à l’incontournable Cervin.
Départ en bus de Genève, à destination de la Vallée d’Aoste.
Petit arrêt dans un restaurant du côté d’Entrèves
Vous descendez ensuite la vallée jusqu’à Châtillon pour prendre celle de Valtournenche jusqu’à Breuil – Cervinia (1’620m), que nous atteignons en fin de matinée.
Déjeuner dans une auberge traditionnelle pour y déguster des mets locaux.
Matterhorn Alpine Crossing
Après le déjeuner, il est temps de traverser les Alpes grâce au « Matterhorn Alpine Crossing » qui confère une dimension inédite aux voyages en remontée mécanique. Il s’agit de la plus haute traversée des Alpes en télécabine.
L’ascension se fait d’abord jusqu’à la station Testa Grigia/plateau Rosà à une altitude de 3’458 m.
De là, vous accédez à la nouvelle section appelé « Matterhorn Plateau Ride » jusqu’à la station dun Petit Cervin qui se situe à une altitude de 3’883 m.
Vous êtes arrivés au Matterhorn Glacier Paradise d’où la vision procure immédiatement ce sentiment rare de tutoyer les sommets dont 34 font partie des « 4’000 » du domaine, sur les 58 que compte la Suisse.
Option :
C’est de là que l’on peut entreprendre, accompagné d’un guide de haute montagne, l’ascension du Breithorn, 4 164 mètres, un itinéraire peu technique qui ouvre aux novices la voie des « 4000 ». Course qui représente un excellent challenge pour une sortie d’entreprise.
Et c’est avec une cabine du téléphérique dessinée par Pinifarina que l’on bascule sur la versant suisse du massif pour un arrêt au lac Noir avant de terminer à Zermatt (1’620m). Au Lac Noir (2’583 m), vous prenez une dernière photo de tout le groupe, si le temps le permet, avec le Cervin en arrière-plan. Un colosse rocheux dont la silhouette est mondialement connue (4’478 m). Sa forme pyramidale élancée a coûté la vie à des centaines d’aventuriers qui ont tenté de l’escalader. Mais c’est peut-être aussi ce qui a généré l’immense pouvoir d’attraction que Zermatt exerce aujourd’hui sur ces “conquérants de l’inutile”, pour paraphraser le célèbre alpiniste français Roger Frison-Roche.
Zermatt
Zermatt en allemand, la langue parlée dans cette partie du Valais, vient de zur matten (dans les alpages). Le lieu était déjà identifié au XIIIe siècle, alors qu’une voie commerciale passait par le col de Saint-Théodule pour relier le Val d’Aoste au Valais. Il faudra cependant attendre 1839 pour y trouver une première auberge, puis quelques années plus tard un véritable hôtel, le Monte Rosa, toujours fièrement posé au cœur de la ville. Un certain Alexander Seiler en fut l’initiateur, qui avant les autres, voit en Zermatt, le camp de base idéal des aventuriers de la montagne. Parmi eux, le Britannique Edward Whymper. En 1865, il sera le premier à atteindre le sommet du Cervin accompagné de Zermattois, les Taugwalder père et fils, guides pionniers dont la compagnie créée quelques années plus tôt (1858) est aujourd’hui une référence. Les bases du tourisme de haute montagne étaient posées et ne cesseront de se développer tandis que la pratique du ski se généralise durant la première moitié du XXe siècle.
Après une visite de la ville, départ de Zermatt en train de montagne pour Viège, puis continuation en train pour Genève.
En option : Excursion de 2 jours avec 1 nuit à Zermatt
Prix
LE PRIX COMPREND
- Guide touristique
- Transport en véhicule privé
- Cabine de téléphérique et télécabine “Matterhorn Alpine Crossing”.
- Train de 1ère classe Zermat-Genève
- Déjeuner au restaurant
LE PRIX NE COMPREND PAS
- Pourboire
- Boissons et Repas